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sashimi女神
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melodyhanhan

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龙虱 ,俗名 水鳖 ,别名泽劳、黑壳虫、 水龟子 、 水鳖虫 、射尿龟、小龟子等。英文名predaci diving beetle。龙虱为药食两用昆虫,风味独特,营养丰富,被誉为“水中人参”。龙虱的腹部上面长有两排气管的开口,叫做气门,气管是贯通全身的组织。龙虱的鞘翅和腹部间都储存着空气,空气中的氧气通过气管供给体内的各组织需用。气门的口上生有很多钢毛,就象一个“过滤器”让空气通过,滤去杂质。空气不仅进入气管,还有一部分会留在鞘翅下面和腹部之间的空隙中,形成一个气泡。当龙虱潜到水中的深处时,就带着这部分空气,仿佛是带着一个“氧气罐”。当这个“氧气罐”里的氧气耗尽时,龙虱就会停在水底食物的枝叶上,微微翘起那对长长的后足,从鞘翅下面挤出一个气泡,这个气泡越变越大,拖在腹部的末端,这是龙虱用来进行呼吸的另一个“氧气罐”。在这个气泡里,氧气已经被消耗得很稀薄。不过,由于在水中溶解的氧气很多,同时由于压力较强,水中的氧气就会渗入气泡里面。龙虱的气管同气泡中的空气是相通的,渗入气泡的氧气就会不断地流向气管,供龙虱呼吸之用。当龙虱需要游泳的时候,它就会把气泡缩回去,而当它停止的时候,它就又会重新挤出一个气泡。龙虱能游善飞,生活于水草多的池塘、沼泽、水沟等淡水水域,对水质要求不严。幼虫老熟后钻入水边较干泥土作室,化为裸蛹,半月后羽化。成虫有很强的趋光性,当游到水面,见有灯光时便飞向高空,趋向光源。1~2年完成一代,世代重叠,7~9月均有成虫。龙虱以肉食性为主,也可兼植食性和腐物性饵料,善于捕捉水中小生物、有机物和水草。龙虱幼虫以小鱼、蝌蚪等动物为食。在人工饲养条件下,龙虱的饲料一般以玉米粉、米糠、麦麸和有甜味的瓜果为主,也可投喂打烂的福寿螺,以及农村广泛存在的猪、鸡、牛、鸭的下脚料。豆娘(Caenagrion)属于昆虫纲,蜻蜓目,束翅亚目,统称蟌(cōng)。体形娇小,休息时翅束于背上方。身体细长且软弱的飞行昆虫,类似小型的蜻蜓,但不是蜻蜓。这一类比较原始的昆虫,中国约有650余种。豆娘是一种颜色鲜艳的食肉昆虫,豆娘身体细长,复眼发达生于头两侧,咀嚼式口器,触角刚毛状,前后翅形状相似,翅脉中室四方形,翅翼生有翅柄,与蜻蜓同属蜻蜓目,与蜻蜓不同点在于豆娘歇息时翅膀伸长叠在一起,且豆娘的四个翅膀几乎一样大小,而蜻蜓的两个后翅膀稍长并且比两个前翅膀宽。体型大多数比蜻蜓要小,最小的豆娘体长为,最大者可以到6-7cm。由于豆娘的体态优美、颜色鲜艳,且其翅膀颜色多变,故国内外很多爱好者喜爱观赏。豆娘的成虫一般习惯在稚虫(水虿chài)栖息的水域附近活动、觅食、求偶、产卵。而由于种类的差异,豆娘有的习惯栖息于流水性的溪流、山沟、田沟,或静水性的池塘、湖泊、沼泽、水洼、水田等水域中。有些喜欢栖息在水流湍急的河流小溪里。整体而言,台湾豆娘中的幽蟌科、珈蟌科全都出现在流水水域,细蟌科则大部分出现在静水水域,琵蟌科则在两种水域皆可见芳踪。一般体型较大的豆娘喜欢停歇在水流湍急的小溪里小的则比较喜欢在净水流域中。大多数豆娘水虿的尾部有三个明显的叶片状或肉质状尾鳃,危急时可以用来划水游泳,以避敌害。 辨认豆娘稚虫,其最明显的特征是下唇特化成的捕获器,很像面罩,但也像沿街托钵的乞食者,因此乡间常戏称之为“水乞丐”。其实它和蜻蜓的稚虫外型上颇相似,主要的不同是:蜻蜓的稚虫身躯粗壮,腹末无尾鳃而是以直肠鳃呼吸;豆娘的稚虫,身躯细长,腹末具有三片尾鳃。孵化后的豆娘水虿在水中捕食其他弱小的水栖昆虫或浮游性小节肢动物维生。豆娘成虫的身躯看起来十分纤弱,一副弱不禁风的样子,但豆娘是肉食性昆虫。它们擅长捕食空中的小飞虫,不过由于体型较小、飞行速度较慢,因此豆娘主要是以体型微小的蚊、蝇和蚜虫、介壳虫、木虱、飞虱、摇蚊……等昆虫为主食,偶尔也会发生大豆娘捕食小豆娘的情形。运气好的人,说不定还有机会见到饿慌的同种豆娘发生同门相残的难得景象。(大豆娘偶尔会捕食小豆娘)大的蜻蜓会捕食豆娘。在水边见到“豆娘点水”,是因为雌豆娘和大部分的蜻蜓一样,亦是以点水的方式产卵,一般产于水中;有些则在水草中用产卵器把卵注入到浸没在水草或者植物的茎内。有些则顺着水草,游到浸没水草的水下用产卵器把卵注入到茎干内。由于豆娘水虿生活于水中,因此多数雌虫习惯停在水边石块、杂物上,短腹幽蟌。和蜻蜓一样,雄性豆娘的生殖器官位于雄性的腹部,而雌性豆娘的生殖器官则位于尾部末端,所以交配的时候,雌性豆娘为了使它的生殖器官到达雄性豆娘的生殖器官,所以它会用弯曲的腹部弯到雄性豆娘的生殖器官,以利于交配。以下为干国祥在自己的鱼缸里观察到的一次水虿羽化为豆娘全过程,时间是2018年7月22日,地点是安徽休宁晨山学校。划蝽(water boatman),半翅目,划蝽科一类昆虫的总称。全球分布,从高自喜马拉雅山,低至死谷,无论淡水、咸淡水中都有,极易与仰泳蝽(heteroptera)混淆。 常见种有:小划蝽(小风船虫)Corixa substriata =Siga substraiata;划蝽Sigra distanti。 虫体大小在4~12mm。一般体形瘦长,头短。喙1~2节,很短。前胸短,小盾片小。前足短。中足细长,后足扁浆状,成两侧平行的流线型,在水中行动迅速。在较淡的底色上具有典型的斑马式的黑色横走斑纹,很易识别。头部后缘多少覆盖在前胸背板上。前足一般粗短,跗节1节,特化加粗为匙形;后足游泳式。一般附著在池或河底植物上,靠身体周围和翅下储存的空气呼吸。气泡中的氧被它消耗后可从水中扩散而补充;而它排出的二氧化碳到气泡中,再溶于水。游泳的动作急促、迅速。它与多数异翅目昆虫不同,喙软,取食时用匙状前足铲取藻类或其他小生物。 当环境不利时,可从水域飞走,有趋光性。冬季以成虫越冬。早春融冰后首先进行交配产卵,卵通常附着在水草茎上,但尖划蝽(Ramphocorixa acuminata)的卵产在蝲蛄上。划蝽是养鱼业的严重敌害。有的地区的人把划蝽作为食品或鸟食。卵作为鱼子酱出售,或弄干后与成虫一起磨粉。最新一项研究证实“身体大小并不是问题”,划蝽能够使用外生殖器官“唱歌”,嘈杂的歌声使它成为地球上最大声的动物。 划蝽的体长仅2毫米,看上去仅是一种弱小的昆虫而已,但它们却能用仅有头发丝一般纤细的外生殖器官“唱歌”。 划蝽的体形具有一定的欺性,通过将外生殖器官在下腹摩擦能够产生震耳欲聋的分贝噪音。与其体形相比,它当之无愧是世界上最嘈杂的动物。 划蝽的学名为“Micronecta scholtzi”,也被称为“会唱歌的生殖器官”,科学家认为它们通过该方式向潜在的异性示爱。欧洲各地均分布着这种体形甚小的昆虫,雄性通过摩擦生殖器官来吸取雌性注意,它们虽然生活在水下,仍发出尖锐刺耳的声音。 这种声音非常大,当人们走过河堤时能够从水底听到刺耳的声音。然而该声音99%在从水中传播至空中已损耗,这意味着过路人听到这种震耳欲聋的声音时并不存在危险。 平均声音可达到分贝,与途经的货运车的呼啸声相近。蓝鲸是地球上声音最大的动物之一,可达到188分贝,而大象隆隆地叫声可达到117分贝。它的身体仅有2毫米长,以身体比例进行计算,划蝽是地球上声音最大的动物。 这项最新研究是由法国和苏格兰的科学家发现的,巴黎国家历史博物馆研究员杰罗姆-苏尔(Jerome Sueur)在分析法国溪流生态多样性时,突然听到水下有与众不同的声响。起初他认为这可能是水下较大体形昆虫发出的,但当他将水下较大体形昆虫捞出时却并未发现这样的声响。进一步的调查发现,这种声响是一种特殊类型的划蝽在“唱歌”。 苏格兰斯特拉思克莱德大学的詹姆斯-温德米尔(James Windmill)说:“我们非常震惊!最初我们都以为这种响亮的声音是来自较大的水栖生物。当我们确定该声音的来源之后,我们花费了大量时间来完全确定所记录声音的正常性。如果以身体比例来衡量制造的声响,它们应当是世界上产生噪音最大的动物。” 作为超声波工程中心的教授,温德米尔称,对于工程师而言,这种划蝽是非常吸引人的。他指出,划蝽喷射脉冲声音是一种典型声呐阵列,然后产生回声。若要制造出这一等级的声响,甚至需要人体大小的生物。相比之下,划蝽的身体仅有2毫米。 这项研究报告现发表在《科学公共图书馆—综合》科学期刊杂志上,报告中指出,这种水下昆虫仅有几毫米长,产生的巨大声响在河畔也能听到。它们并不存在天敌物种,发现它们仅能通过声响,因此没有进化需求使它们安静下来。 但是目前科学家并不知道为什么声音会如此响亮,观测这种微小等级的昆虫非常困难,接下来的挑战是发现是否雌性真实喜欢雄性的叫声。未完待续!

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秋风扫落叶

呵呵,这个办法行吗,最好把人家翻译得很好的文字改得差一点呀。比如这个莫泊桑的《项链》,给你个法文版看看,汉译应该很好找,就怕教师那里通不过呀!La Parure. C'était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d'employés. Elle n'avait pas de dot, pas d'espérances, aucun moyen d'être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué ; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l'instruction publique. Elle fut simple, ne pouvant être parée ; mais malheureuse comme une déclassée ; car les femmes n'ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille. Leur finesse native, leur instinct d'élégance, leur souplesse d'esprit, sont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames. Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes. Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l'usure des sièges, de la laideur des étoffes. Toutes ces choses, dont une autre femme de sa caste ne se serait même pas aperçue, la torturaient et l'indignaient. La vue de la petite Bretonne qui faisait son humble ménage éveillait en elle des regrets désolés et des rêves éperdus. Elle songeait aux antichambres muettes, capitonnées avec des tentures orientales, éclairées par de hautes torchères de bronze, et aux deux grands valets en culotte courte qui dorment dans les larges fauteuils, assoupis par la chaleur lourde du calorifère. Elle songeait aux grands salons vêtus de soie ancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquets, parfumés, faits pour la causerie de cinq heures avec les amis les plus intimes, les hommes connus et recherchés dont toutes les femmes envient et désirent l'attention. Quand elle s'asseyait, pour dîner, devant la table ronde couverte d'une nappe de trois jours, en face de son mari qui découvrait la soupière en déclarant d'un air enchanté : « Ah ! le bon pot-au-feu ! je ne sais rien de meilleur que cela... » elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes, aux tapisseries peuplant les murailles de personnages anciens et d'oiseaux étranges au milieu d'une forêt de féerie ; elle songeait aux plats exquis servis en des vaisselles merveilleuses, aux galanteries chuchotées et écoutées avec un sourire de sphinx, tout en mangeant la chair rose d'une truite ou des ailes de gelinotte. Elle n'avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien. Et elle n'aimait que cela ; elle se sentait faite pour cela. Elle eût tant désiré plaire, être enviée, être séduisante et recherchée. Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu'elle ne voulait plus aller voir, tant elle souffrait en revenant. Et elle pleurait pendant des jours entiers, de chagrin, de regret, de désespoir et de détresse. Or, un soir, son mari rentra, l'air glorieux et tenant à la main une large enveloppe. « Tiens, dit-il, voici quelque chose pour toi. » Elle déchira vivement le papier et en tira une carte imprimée qui portait ces mots : « Le ministre de l'instruction publique et Mme Georges Ramponneau prient M. et Mme Loisel de leur faire l'honneur de venir passer la soirée à l'hôtel du ministère, le lundi 18 janvier. » Au lieu d'être ravie, comme l'espérait son mari, elle jeta avec dépit l'invitation sur la table, murmurant : « Que veux-tu que je fasse de cela? - Mais, ma chérie, je pensais que tu serais contente. Tu ne sors jamais, et c'est une occasion, cela, une belle ! J'ai eu une peine infinie à l'obtenir. Tout le monde en veut ; c'est très recherché et on n'en donne pas beaucoup aux employés. Tu verras là tout le monde officiel. » Elle le regardait d'un oeil irrité, et elle déclara avec impatience : « Que veux-tu que je me mette sur le dos pour aller là ? » Il n'y avait pas songé ; il balbutia : « Mais la robe avec laquelle tu vas au théâtre. Elle me semble très bien, à moi... » Il se tut, stupéfait, éperdu, en voyant que sa femme pleurait. Deux grosses larmes descendaient lentement des coins des yeux vers les coins de la bouche ; il bégaya : « Qu'as-tu ? qu'as-tu ? » Mais, par un effort violent, elle avait dompté sa peine et elle répondit d'une voix calme en essuyant ses joues humides : « Rien. Seulement je n'ai pas de toilette et par conséquent je ne peux aller à cette fête. Donne ta carte à quelque collègue dont la femme sera mieux nippée que moi. » Il était désolé. Il reprit : « Voyons, Mathilde. Combien cela coûterait-il, une toilette convenable, qui pourrait te servir encore en d'autres occasions, quelque chose de très simple ? » Elle réfléchit quelques secondes, établissant ses comptes et songeant aussi à la somme qu'elle pouvait demander sans s'attirer un refus immédiat et une exclamation effarée du commis économe. Enfin, elle répondit en hésitant : « Je ne sais pas au juste, mais il me semble qu'avec quatre cents francs je pourrais arriver. » Il avait un peu pâli, car il réservait juste cette somme pour acheter un fusil et s'offrir des parties de chasse, l'été suivant, dans la plaine de Nanterre, avec quelques amis qui allaient tirer des alouettes, par là, le dimanche. Il dit cependant : « Soit. Je te donne quatre cents francs. Mais tâche d'avoir une belle robe. » Le jour de la fête approchait, et Mme Loisel semblait triste, inquiète, anxieuse. Sa toilette était prête cependant. Son mari lui dit un soir : « Qu'as-tu ? Voyons, tu es toute drôle depuis trois jours. » Et elle répondit : « Cela m'ennuie de n'avoir pas un bijou, pas une pierre, rien à mettre sur moi. J'aurai l'air misère, comme tout. J'aimerais presque mieux ne pas aller à cette soirée. » Il reprit : «Tu mettras des fleurs naturelles. C'est très chic en cette saison-ci. Pour dix francs tu auras deux ou trois roses magnifiques. » Elle n'était point convaincue. « Non... il n'y a rien de plus humiliant que d'avoir l'air pauvre au milieu de femmes riches. » Mais son mari s'écria : « Que tu es bête ! Va trouver ton amie Mme Forestier et demande-lui de te prêter des bijoux. Tu es bien assez liée avec elle pour faire cela. » Elle poussa un cri de joie : « C'est vrai. Je n'y avais point pensé. » Le lendemain, elle se rendit chez son amie et lui conta sa détresse. Mme Forestier alla vers son armoire à glace, prit un large coffret, l'apporta, l'ouvrit, et dit à Mme Loisel : « Choisis, ma chère. » Elle vit d'abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries, d'un admirable travail . Elle essayait les parures devant la glace, hésitait, ne pouvait se décider à les quitter, à les rendre. Elle demandait toujours : « Tu n'as plus rien d'autre? - Mais si. Cherche. Je ne sais pas ce qui peut te plaire. » Tout à coup elle découvrit, dans une boîte de satin noir, une superbe rivière de diamants, et son coeur se mit à battre d'un désir immodéré. Ses mains tremblaient en la prenant. Elle l'attacha autour de sa gorge, sur sa robe montante, et demeura en extase devant elle-même. Puis, elle demanda, hésitante, pleine d'angoisse : « Peux-tu me prêter cela, rien que cela ? - Mais oui, certainement. » Elle sauta au cou de son amie, l'embrassa avec emportement, puis s'enfuit avec son trésor. Le jour de la fête arriva. Mme Loisel eut un succès. Elle était plus jolie que toutes, élégante, gracieuse, souriante et folle de joie. Tous les hommes la regardaient, demandaient son nom, cherchaient à être présentés. Tous les attachés du cabinet voulaient valser avec elle. Le ministre la remarqua. Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir, ne pensant plus à rien, dans le triomphe de sa beauté, dans la gloire de son succès, dans une sorte de nuage de bonheur fait de tous ces hommages, de toutes ces admirations, de tous ces désirs éveillés, de cette victoire si complète et si douce au coeur des femmes. Elle partit vers quatre heures du matin. Son mari, depuis minuit, dormait dans un petit salon désert avec trois autres messieurs dont les femmes s'amusaient beaucoup. Il lui jeta sur les épaules les vêtements qu'il avait apportés pour la sortie, modestes vêtements de la vie ordinaire, dont la pauvreté jurait avec l'élégance de la toilette de bal. Elle le sentit et voulut s'enfuir, pour ne pas être remarquée par les autres femmes qui s'enveloppaient de riches fourrures. Loisel la retenait : « Attends donc. Tu vas attraper froid dehors. Je vais appeler un fiacre. » Mais elle ne l'écoutait point et descendait rapidement l'escalier. Lorsqu'ils furent dans la rue, ils ne trouvèrent pas de voiture ; et ils se mirent à chercher, criant après les cochers qu'ils voyaient passer de loin. Ils descendaient vers la Seine, désespérés, grelottants. Enfin ils trouvèrent sur le quai un de ces vieux coupés noctambules qu'on ne voit dans Paris que la nuit venue, comme s'ils eussent été honteux de leur misère pendant le jour. Il les ramena jusqu'à leur porte, rue des Martyrs, et ils remontèrent tristement chez eux. C'était fini, pour elle. Et il songeait, lui, qu'il lui faudrait être au ministère à dix heures. Elle ôta les vêtements dont elle s'était enveloppé les épaules, devant la glace, afin de se voir encore une fois dans sa gloire. Mais soudain elle poussa un cri. Elle n'avait plus sa rivière autour du cou ! Son mari, à moitié dévêtu déjà, demanda : « Qu'est-ce que tu as ? » Elle se tourna vers lui, affolée : « J'ai... j'ai... je n'ai plus la rivière de Mle Forestier. » Il se dressa, éperdu : « Quoi !... comment !... Ce n'est pas possible ! » Et ils cherchèrent dans les plis de la robe, dans les plis du manteau, dans les poches, partout. Ils ne la trouvèrent point. Il demandait : « Tu es sûre que tu l'avais encore en quittant le bal ? - Oui, je l'ai touchée dans le vestibule du ministère. - Mais si tu l'avais perdue dans la rue, nous l'aurions entendue tomber. Elle doit être dans le fiacre. - Oui, C'est probable. As-tu pris le numéro ? - Non. Et toi, tu ne l'as pas regardé ? - Non. » Ils se contemplaient atterrés. Enfin Loisel se rhabilla. « Je vais, dit-il, refaire tout le trajet que nous avons fait à pied, pour voir si je ne la retrouverai pas. » Et il sortit. Elle demeura en toilette de soirée, sans force pour se coucher, abattue sur une chaise, sans feu, sans pensée. Son mari rentra vers sept heures. Il n'avait rien trouvé. Il se rendit à la préfecture de Police, aux journaux, pour faire promettre une récompense, aux compagnies de petites voitures, partout enfin où un soupçon d'espoir le poussait. Elle attendit tout le jour, dans le même état d'effarement devant cet affreux désastre. Loisel revint le soir, avec sa figure creusée, pâlie ; il n'avait rien découvert. « Il faut, dit-il, écrire à ton amie que tu as brisé la fermeture de sa rivière et que tu la fais réparer. Cela nous donnera le temps de nous retourner. » Elle écrivit sous sa dictée. Au bout d'une semaine, ils avaient perdu toute espérance. Et Loisel, vieilli de cinq ans, déclara : « Il faut aviser à remplacer ce bijou. » Ils prirent, le lendemain, la boîte qui l'avait renfermé, et se rendirent chez le joaillier, dont le nom se trouvait dedans. Il consulta ses livres : « Ce n'est pas moi, Madame, qui ai vendu cette rivière ; j'ai dû seulement fournir l'écrin. » Alors ils allèrent de bijoutier en bijoutier, cherchant une parure pareille à l'autre, consultant leurs souvenirs, malades tous deux de chagrin et d'angoisse. Ils trouvèrent, dans une boutique du Palais-Royal, un chapelet de diamants qui leur parut entièrement semblable à celui qu'ils cherchaient. Il valait quarante mille francs. On le leur laisserait à trente-six mille. Ils prièrent donc le joaillier de ne pas le vendre avant trois jours. Et ils firent condition qu'on le reprendrait, pour trente quatre mille francs, si le premier était retrouvé avant la fin de février. Loisel possédait dix-huit mille francs que lui avait laissés son père. Il emprunterait le reste. Il emprunta, demandant mille francs à l'un, cinq cents à l'autre, cinq louis par-ci, trois louis par-là. Il fit des billets, prit des engagements ruineux, eut affaire aux usuriers, à toutes les races de prêteurs. Il compromit toute la fin de son existence, risqua sa signature sans savoir même s'il pourrait y faire honneur, et, épouvanté par les angoisses de l'avenir, par la noire misère qui allait s'abattre sur lui, par la perspective de toutes les privations physiques et de toutes les tortures morales, il alla chercher la rivière nouvelle, en déposant sur le comptoir du marchand trente-six mille francs. Quand Mme Loisel reporta la parure à Mme Forestier, celle-ci lui dit, d'un air froissé : « Tu aurais dû me la rendre plus tôt, car je pouvais en avoir besoin. » Elle n'ouvrit pas l'écrin, ce que redoutait son amie. Si elle s'était aperçue de la substitution, qu'aurait-elle pensé ? qu'aurait-elle dit ? Ne l'aurait-elle pas prise pour une voleuse ? Mme Loisel connut la vie horrible des nécessiteux. Elle prit son parti, d'ailleurs, tout d'un coup, héroïquement. Il fallait payer cette dette effroyable. Elle payerait. On renvoya la bonne ; on changea de logement ; on loua sous les toits une mansarde. Elle connut les gros travaux du ménage, les odieuses besognes de la cuisine. Elle lava la vaisselle, usant ses ongles roses sur les poteries grasses et le fond des casseroles. Elle savonna le linge sale, les chemises et les torchons, qu'elle faisait sécher sur une corde ; elle descendit à la rue, chaque matin, les ordures, et monta l'eau, s'arrêtant à chaque étage pour souffler. Et, vêtue comme une femme du peuple, elle alla chez le fruitier, chez l'épicier, chez le boucher, le panier au bras, marchandant, injuriée, défendant sou à sou son misérable argent. Il fallait chaque mois payer des billets, en renouveler d'autres, obtenir du temps. Le mari travaillait, le soir, à mettre au net les comptes d'un commerçant, et la nuit, souvent, il faisait de la copie à cinq sous la page. Et cette vie dura dix ans. Au bout de dix ans, ils avaient tout restitué, tout, avec le taux de l'usure, et l'accumulation des intérêts superposés. Mme Loisel semblait vieille, maintenant. Elle était devenue la femme forte, et dure, et rude, des ménages pauvres. Mal peignée, avec les jupes de travers et les mains rouges, elle parlait haut, lavait à grande eau les planchers. Mais parfois, lorsque son mari était au bureau, elle s'asseyait auprès de la fenêtre, et elle songeait à cette soirée d'autrefois, à ce bal où elle avait été si belle et si fêtée. Que serait-il arrivé si elle n'avait point perdu cette parure ? Qui sait ? qui sait ? Comme la vie est singulière, changeante ! Comme il faut peu de chose pour vous perdre ou vous sauver ! Or, un dimanche, comme elle était allée faire un tour aux Champs-Élysées pour se délasser des besognes de la semaine, elle aperçut tout à coup une femme qui promenait un enfant. C'était Mme Forestier, toujours jeune, toujours belle, toujours séduisante. Mme Loisel se sentit émue. Allait-elle lui parler ? Oui, certes. Et maintenant qu'elle avait payé, elle lui dirait tout. Pourquoi pas ? Elle s'approcha. « Bonjour, Jeanne. » L'autre ne la reconnaissait point, s'étonnant d'être appelée ainsi familièrement par cette bourgeoise. Elle balbutia : « Mais... Madame !... Je ne sais... Vous devez vous tromper. - Non. Je suis Mathilde Loisel. » Son amie poussa un cri. « Oh !... ma pauvre Mathilde, comme tu es changée !... - Oui, j'ai eu des jours bien durs, depuis que je ne t'ai vue ; et bien des misères... et cela à cause de toi !... - De moi... Comment ça ? - Tu te rappelles bien cette rivière de diamants que tu m'as prêtée pour aller à la fête du ministère. - Oui. Eh bien ? - Eh bien, je l'ai perdue. - Comment ! puisque tu me l'as rapportée. - Je t'en ai rapporté une autre toute pareille. Et voilà dix ans que nous la payons. Tu comprends que ça n'était pas aisé pour nous, qui n'avions rien... Enfin c'est fini, et je suis rudement contente. - Tu dis que tu as acheté une rivière de diamants pour remplacer la mienne ? - Oui. Tu ne t'en étais pas aperçue, hein ? Elles étaient bien pareilles. » Et elle souriait d'une joie orgueilleuse et naïve. Mme Forestier, fort émue, lui prit les deux mains. « Oh ! ma pauvre Mathilde ! Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents francs !... » (17 février 1884.)

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魔都贤先森

滑板有哪些专业术语-关于滑板的专业术语 为帮助大家更清楚地了解滑板的相关知识,下面,我为大家分享滑板的专业术语,希望对大家有所帮助! 1 COPING 横管半管坡道上沿的钢管,用于保证坡道的整体性并给滑手提供碾磨处。 2 CURB 边 沿 牙子街市滑障碍物上滑板接触最多的部位,一般都是边缘处,用来跐板和碾磨。 3 CUSHION PU垫桥零件。聚氨酯做成。转向和减震用。 4 DECK 板面滑板最主要的部件。 5 DELAM 板面损伤板面磕碰后出现的损伤。 6 DISASTER 大灾后轮置于障碍物上,板边置于障碍物边沿上,前轮离开障碍物悬空。 7 DOWNHILL 下坡式滑板运动的一种方式,比赛速度和坡道转弯的能力,也可以是休闲运动方式。 8 DROPIN 掉入板尾置于坡道上沿,前轮悬空,移动身体中心向前,直至落入滑道。 9 EMB美国旧金山一个地铁站名的简称,曾被誉为“滑板麦加”。 10 BACKSIDE 背面此术语来自冲浪运动。冲上浪峰旋转时转动的结果为背对浪峰的转动方向。这里用来描述滑板时转动的方向。滑板中把转动的结果为背对障碍物的转动方向成为backside 11 BANK 坡岸高出地表的坡面。城市中滑板常用的一种坡道障碍物。 12 BASEPLATE 桥底座有压铸 浇铸和锻造不同制造方法。多为铝合金。 13 BIGSPIN 大转 backside 转体180度同时做360度的shoveit。 14 BLUNT 钝刀起跳跃上障碍物并以板尾沿其边缘降落,使后两轮落于障碍物上。板前端上翘,几近垂直状态。 15 BONED 去骨空中动作。将板从前方推出,指向下方。 16 BONELESS 无骨空中动作。前脚离开板面,同时用手抓板。此时后脚仍然在向上运动的板上。然后将前脚放回板面,手离板,降落。 17 CASPER卡斯坡板面底朝上,前脚放于板下,后脚放于板尾,将板指向天空。 18 COMP 比赛的简称。 19 CONCAVE 脚窝板面凹下部分,板凹可增加板面强度和滑手动作的杠杆作用。 20 COPER 护桥桥悬轴保护套。今天已经很少用。 21 180 转体180度比如180 frontsideollie。 22 360 转体360度比如360 shove-it kickflip。 23 411 411双月刊滑板录像杂志,介绍滑板录像节目。 24 5-0 磨后桥发音'five-oh'。用后桥在障碍物边缘上磨碾。所谓磨碾,即用桥体而不用轮。 25 50-50 磨双桥一种磨桥动作。在障碍物边缘上用前后桥同时磨碾。 26 A邵氏硬度滑板轮硬度指标。值越高硬度越大,硬度越大,反弹越低。对于生产者,关键是提高同等硬度下的反弹;对于使用者,关键是选择最佳的硬度和反弹的匹配。 27 ACIDDROP酸糖果从障碍物上ollie滑下并用手触板。 28 AIR 坡道腾空非翱骊进入空中的状态,比如从坡道上或半管上。 29 AXLE 轴穿过桥的悬轴的钢轴,用中碳钢或铬钢制成 30 FAKIE 倒滑倒行滑。由此可见滑板者喜欢造自己的词汇。 31 FAT(phat)肥 动作之高飘远。 32 FEEBLEGRIND 衰磨后桥碾磨的同时板面以一个小倾角向前滑动。 33 FLIP 翻板板面沿纵轴转动一至数圈后又以轮子落地的动作,该动作源自自由式。 34 FOCUS 将板面人为折成两截。一度在滑友中非常时髦,用于表示绝望和失败。 35 FREESTYLE 自由式一度极为流行,很多动作都源自自由式滑手的创造。 36 FRONTSIDE 前面此术语来自冲浪运动。冲上浪峰旋转时转动的结果为面对浪峰的转动方向。这里用来描述滑板时转动的.方向。滑板中把转动的结果为面对障碍物的转动方向成为frontside,与'backside'正好相反。 37 FUNBOX 乐趣台由坡面 肋杠等组成的综合性滑板障碍物。 38 GOOFY 拗脚右脚在前的滑板姿势。一般人都是左脚在前。 39 GRAB 抓板,手抓板。 40 GRAPHICS 图案,板面底面上的美术设计。 41 GRIND 碾磨,用桥碾磨障碍物上面或边沿,有好几种衍生动作,如:50-50,5-0,Tail,Nose,K-Grind,Smith,Sausage,Feeble and Slappy 42 GRIPTAPE 砂,防滑层 43 HANDPLANT 单手倒立,用脚或者另只手持板于空中。 44 HANDRAIL 肋杠,专门制作的模仿楼梯扶手的道具,或者就是现场的栏杆扶手。 45 HANGER 悬轴,桥之部件, 由钢轴和铝合金体组成。 46 HEELFLIP 脚跟翻,与踢翻方向相反。 47 HELMET头盔,一般滑半管的滑手使用。 48 HIP 裆,如果两个坡道以一定角度相接,连接处被称作HIP。 49 IMPOSSIBLE 绕板,前白骨队滑手Rodney Mullen发明的自由式动作。使板绕脚而转。 50 INDYGRAB因蒂抓,用后手在身前抓板。 51 JAM 集合一帮滑手一起滑板。 52 K-GRIND 歪磨,“Crooked Grind”之简称。使前桥碾磨障碍物滑行。 53 KICKFLIP 踢翻 54 KICKTURN 踢转,以后轮为支点前轮悬空转动,滑板转向时使用。 55 KINGPIN 主钉,桥零件,桥的最易损坏的零件。 56 KINK 弯,肋杠的转折起伏。一般肋杠为直线型,但也有左右转几次弯,或上下几个起伏的。一个变化叫做一个KINK。 57 Lame 烂,滑板技术差。 58 LAUNCHRAMP 出发台,一般又高台加陡坡组成。 59 LIP 唇 沿坡道的上沿。 61 MANUAL 后轮滑,又称Wheelie。 62 MCTWIST麦克扭,前白骨队员 Mike McGil 发明的动作,即540度 backsideairwith a mute grab 63 MELLONCOLLIE 翱骊反抓板,翱骊动作,空中时,用前手从身后抓板。 64 MINIRAMP 小U池,小型半管,一般没有垂直部分,高两米。 65 MM Millimetres 毫米,虽然美国的板面都用英寸做单位,轮子却使用公制,奇怪,山姆大叔乱了套。 66 Mongo-foot蒙古脚,一般情况下,滑手前脚踩板上,后脚踏地前行。而后脚踩板,前脚踏动驱动滑板的姿势被称作蒙古脚。 67 NOCOMPLY 过渡弹板,古典街市滑动作。滑行中前脚离板踏地过渡,后脚发力压板将板面弹入空中的动作。 68 NOLLIE 板鼻翱骊,和翱骊动作要领一样,但是在滑行中,突然前脚发力翱骊,又称:switch-stance fakie ollie 69 NOSE 板鼻,板尾称'tail' 70 NOSEGRAB 前手抓鼻 71 NOSEGRIND 碾磨前桥 72 NOSESLIDE 滑板鼻,使用板底前端沿障碍物边沿滑行。 73 OLLIE 翱骊,不用手而带板腾空。前白骨队员Ollie Gelfand发明。Rodney Mullen 将其流行开来。这是滑板入门应该掌握的第一个动作。 74 PADS 护具 75 PIVOT CUP枢轴窝,桥底座上配合悬轴支点的部分。 76 PLATFORM 平台 77 PLY胶合板的简称。 75 POPSHOVEIT 翱骊杀未特,翱骊加shoveit。 76 PRO 职业滑手 77 QUARTERPIPE 起跳台 78 Rad 酷毙 79 RAILS 肋骨,或者指两桥之间板底的两个边 80 RAILSLIDE 骑肋,滑板底。 81 REGULAR 正脚,左脚在前的滑姿。 82 REVERT 回头,完成一个动作从前方结束,然后迅速滑转180度倒退结束动作。 83 RIBBONES 肋骨,板底保护件。 84 RISER 桥垫片,用于桥和板面之间保护板面同时起减震和保证板面与地面距离作用。 85 ROCKANDROLL 摇滚,坡道动作。滑上坡道上沿,使前桥过沿,停住,转体180度,滑下 86 ROLLIN 滚入,沿坡道顶端平台滑行,滑过上沿进入坡道。 87 Ruling 盖了,滑板技术好 88 SADPLANT 单手倒立,但抓板内边,伸直前腿。 89 SAUSAGE GRIND 香肠磨,抓板尾用前桥做 smithgrind 90 SHOVEIT 杀未特,板在脚底水平旋转180或360,但身体不转。 91 SKATEPARK 专用滑板场 92 SKETCHY 凑合成功,动作勉强成功。 93 SLALOM 回转滑 94 SLAM 摔,滑手从板上摔下。 95 SLAPPY 囫囵不是翱骊上去而是直接冲上马路牙子一类的地形去做碾磨。 96 SLICK 特滑层,特殊塑料的增滑层 97 SMITHGRIND斯密磨,用后桥做碾磨动作,而前桥不跃上障碍物,而是沿着障碍物边缘滑行。 98 SNAKE加塞,排队滑障碍物时的“加楔者”。 99 SNAKERUN 蛇道,带斜坡的曲径。 100 SPACER 间隔圈,一种金属圈,放在两个轴承间,可以延长轴承寿命。 101 SPINE 脊,两个坡道背靠背放置又没有平台相连,则连接处形成一个“脊柱”。 102 STALEFISHGRAB 臭鱼抓,用后手绕过后腿从身后抓板。 103 STAIN 丝印板面,不带增滑层的板面。 104 STANCE 站位 105 STOKED 爽透,感觉良好 106 STREET 街道滑 107 SWITCHSTANCE 换位,一般人学滑板开始即熟悉或者左腿在前或右腿在前,即所谓regular orgoofy。如果你本来是regular,做一动作时用goofy,或者相反,即是switchstance。switchstance 可以表示一个人能“左右开弓”,也就是说技术全面。 108 TAIL 滑板板尾 109 TAILGRAB 抓板尾 110 TAILBONES尾骨,可以做刹车,也可以保护板尾。 111 TAILSLIDE 滑板尾 112 THRASHED 滑板造成的障碍物的磨损。 113 THRASHER 摔打者滑板杂志。 114 TRANSITION 坡道过渡部分。 115 TRANSWORLD 环球滑板杂志。 116 TRUCK 桥,又称支架,滑板的转向机构。 117 TRUCKBOLTS 桥钉 118 TWEAK 将滑板指向不寻常的方向 119 VERT 垂直壁 120 WALLIE 滑上或滑过(不是翱骊过)街上一个障碍物。 121 WALLRIDE骑墙,滑板上墙。 122 WAX 蜡,用来增加骑肋等动作的光滑度。 123 WHEEL 轮子,玩具滑板轮由聚乙烯等塑料制成。专业轮都是用高反弹聚氨脂制成,最好的是MDI,TDI次之。 124 Wheelie 后轮滑,身体重心平衡于后轮上,前轮悬空。 125 WHEELSLIDE 侧滑,横向刹车。不用脚拖地的方法减速制动,而是突然转体90度,靠轮子的摩擦力刹车的动作。衍生动作:frontside/backside 90/180/360 126 WOOD 丝印,不带增滑层的板面。 127 WRISTGUARD 护腕 ;

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落跑蚂蚁

Nous sommes un senior, et doivent maintenant payer une traduction, et en français à moins d'article, nous avons demandé le nombre de mots à plus de 3000 personnages, qui peuvent fournir une sorte de français et de son article

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WeiXin呵呵呵

J'ai été amoureuse, follement amoureuse de toi. Pourquoi tu me fait souffrir comme sa? je suis presque prete à tout abandoner pour toi!!mais toi? tu me fait quoi en échange? tu m'abandonne moi!!! tu m'a dit que tu n'aimerais que moi, tu me la promis! et moi aussi je n'aimerai que toi, toute ma vie! te quiero vraiment! tu m'avais promis que tu ne m'abandonnerai pas, tu la promis! tes promesses ne sont que le souffle du vent, vient vite, emporte mon coeur, et s'en va sans rien me laisser, rien que des sentiments de douleur, de peine, de solitude, je me sens seul sans toi, pouquoi tu me fait sa!!!! je t'en veut!! tu me dis que tu m'aime encore ,que c'est pour mon bien que tu me quitte, dans ce cas, je te demande!!! est-ce-que à ton avis je vais bien? suis-je heureuse? à cause de toi j'arrive plus à dormir! si tu savais que sa ne marcherait pas entre nous, pourquoi m'avoir parler? je t'en veut pour tout ce que te m'a fait! pour comment tu m'a fait souffrir... mais je t'aime!!! tu n'est qu'un bon à rien!!! t'est même pas capable de tenir jusqu'au bout! tu te souvient de l'anné dernière? en juillet, le mois de notre anniversaire? 2-3jour apres ton anniversaire, notre marriage, et aujourd'hui, on aurais pu feter notre 10 ème mois d'anniversaire! mais tout ?a c'est par ta faute!! je pense que je t'aimerais toute ma vie! mais j'espere aussi que tu trouvera la femme de ta vie! que je sera heureux!! on dit toujours que le premier amour n'est jamais le bon! tu avais juré que tu leur prouvera le contraire! que nous on sera ensemble plutard! mais tu n'as pa tenu ta promesse!!! je ne sais pas quand je sesserai de t'aimer, mais pour l'instant, sa semble impossible!我爱你,实在太爱你了。你为什么让我这么痛苦? 我可以为你放弃一切!!但是你?你给了我什么?你把我给抛弃了!!!你说过你只爱我一个,你保证过!我也一样,一辈子只爱你一个。真的爱你(quiero西班牙语:爱)。你说过你不会抛弃我,你保证过!你的誓言就像风一样,来得快,带走我的心,做的时候什么也不留下,让我痛苦,伤心,孤独,没有你我感觉到了寂寞,你为什么要这么对我!!!我要报复你!!你对我说你还爱我,你走是为我好,那么,我问你!!你仍为我过得好吗?我开心吗?就因为你导致我不能入睡!如果你认为我们在一起是错误的,你为什么不跟我讲?我要报复你对我所做的一切,让你知道我的痛苦。。。但是我爱你!!!你什么都不好!!!你连坚持到最后都做不到!你记得去年吗?7月的时候,我们结婚的那月,你生日后的两三天,本来今天我们可以一起庆祝我们的结婚后的第10个月!但现在!全都是你的错!我想我会爱你一辈子!我也希望你能找到你的真正的老婆!我是多么的开心!!所有人都说一份爱情都不是好的!你说过你会证明这句话是错的!我们会一直到最后!但是你没有遵守诺言!!!我不知道什么时候我能停止爱你,但是最近,是不可能的。

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    可以直接在官网上订阅杂志,当然也可以在淘宝上订阅《财经》杂志。

    大财891088 7人参与回答 2023-12-09
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    sashimi女神 5人参与回答 2023-12-08
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